Sixième volume : Albertine Disparue (La Fugitive)
- 391 : [---- VI ----] Albertine disparue - Le chagrin et l'oubli - Mademoiselle Albertine est partie !
- 392 : Certes, ce coup physique au coeur que donne une telle séparation
- 393 : Devant la porte d'Albertine, je trouvai une petite file pauvre
- 394 : Saint-Loup que je savais à Paris avait été mandé par moi à l'instant même
- 395 : Saint-Loup devait être à peine dans le train que je me croisai dans mon antichambre avec Bloch
- 396 : Puis la concurrence des autres formes de la vie rejeta dans l'ombre cette nouvelle douleur
- 397 : J'écrivis à Albertine
- 398 : En faisant la chambre d'Albertine, Françoise, curieuse, ouvrit le tiroir
- 399 : La lettre d'Albertine n'avançait en rien les choses
- 400 : Pour que la mort d'Albertine eût pu supprimer mes souffrances
- 401 : D'ailleurs au souvenir des heures même purement naturelles s'ajouterait
- 402 : Ce qui remplissait mon coeur maintenant était, au lieu de haineux soupçons, le souvenir attendri
- 403 : Comme elle accourait vite me voir, à Balbec, quand je la faisais chercher
- 404 : Ma séparation d'avec Albertine, le jour où Françoise m'avait dit : « Mademoiselle Albertine est partie »
- 405 : Je n'avais pas encore reçu de nouvelles d'Aimé qui pourtant devait être arrivé à Balbec
- 406 : Aimé alla loger à côté de la villa de Mme Bontemps ; il fit la connaissance d'une femme de chambre
- 407 : Ce qui vint à mon secours contre cette image de la blanchisseuse
- 408 : Si encore ce retrait en moi des différents souvenirs d'Albertine
- 409 : Mais la lecture des journaux m'en était odieuse, et de plus elle n'était pas inoffensive
- 410 : Les romanciers prétendent souvent, dans une introduction, qu'en voyageant dans un pays
- 411 : Je ramenais avec moi les filles qui m'eussent le moins plu, je lissais des bandeaux à la vierge
- 412 : Mademoiselle de Forcheville - Ce n'était pas que je n'aimasse encore Albertine
- 413 : Un instant avant que Françoise m'apportât la dépêche
- 414 : Après le déjeuner, quand j'allai chez Mme de Guermantes, ce fut moins pour Mlle d'Éporcheville
- 415 : La duchesse finissait d'ailleurs par éprouver de sa persévérance poursuivie
- 416 : Quand M. de Guermantes eut terminé la lecture de mon article
- 417 : Nous étions dans ma chambre pour une autre raison encore
- 418 : En ce qui concerne le jeune sportif, neveu des Verdurin
- 419 : Quand Andrée fut partie, l'heure du dîner était arrivée
- 420 : Je lui montrai le papier : « Je n'ai aucun remords
- 421 : Séjour à Venise - Ma mère m'avait emmené passer quelques semaines à Venise
- 422 : Plusieurs des palais du Grand Canal étaient transformés en hôtels
- 423 : Parfois, au crépuscule, en rentrant à l'hôtel je sentais que l'Albertine d'autrefois, invisible à moi-même
- 424 : Après le déjeuner, quand je n'allais pas errer seul dans Venise
- 425 : Le soir, je sortais seul, au milieu de la ville enchantée
- 426 : Nouvel aspect de Robert de Saint-Loup - Oh ! c'est inouï, me dit ma mère
- 427 : Dans la maison de femmes – où on procurait de plus en plus des hommes
- 428 : Ces deux mariages dont nous parlions déjà avec ma mère dans le train
- 429 : Une autre erreur encore que tout jeune lecteur peu au courant eût été porté à faire
- 430 : Je compris qu'une séparation avait failli se produire entre Robert et sa femme
- 431 : Dans une soirée où j'avais rencontré Robert avant que je ne partisse pour Combray
- 432 : Je n'aurais d'ailleurs pas à m'arrêter sur ce séjour que je fis du côté de Combray